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Bonjour,
vous dites que vous n’aimez pas, et pourquoi donc, expliquez-vous trop facile de le dire sans apporter vos commentaires. J’ai feuilletais l’album, certes pas mal de de sexes mais bon c’est une bd pour adulte responsable. Pour les dessins, C Simon vient de la ligne clair et a été un bras droit de Jacques Martin son style à évoluer mon académicien. A ses débuts dans Alix, je n’apprécier modérément son style trop marqué, avec un manque évidement de finesse tout le contraire de Martin.
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Bonjour,
vous dites que vous n’aimez pas, et pourquoi donc, expliquez-vous trop facile de le dire sans apporter vos commentaires. J’ai feuilletais l’album, certes pas mal de de sexes mais bon c’est une bd pour adulte responsable. Pour les dessins, C Simon vient de la ligne clair et a été un bras droit de Jacques Martin son style à évoluer mon académicien. A ses débuts dans Alix, je n’apprécier modérément son style trop marqué, avec un manque évidement de finesse tout le contraire de Martin.
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J’ai interviewé Christophe Simon pour Sparte et pour le prochain Alix, la conjuration de Baal.
A ne pas louper, en plus, c’est une interview audio et c’est sur Alix Mag’!
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J’ai interviewé Christophe Simon pour Sparte et pour le prochain Alix, la conjuration de Baal.
A ne pas louper, en plus, c’est une interview audio et c’est sur Alix Mag’!

Par Christophe Simon et Patrick Weber. Le Lombard, 11,95 €, le 26 août 2011.
Malgré une couverture au graphisme puissant, cet album sur Sparte est plus proche d’Alix que du 300 de Frank Miller (puis Zack Snyder au cinéma). Pas étonnant, puisque Christophe Simon a longtemps oeuvré dans le studio Martin (sur Orion et Lefranc notamment), avant de signer avec le scénariste Patrick Weber ici présent les tomes 26 et 27 de la fameuse série romaine. Voici donc une aventure antique plan-plan, avec son lot de glaives ensanglantés et d’hommes à moitié nu, sous-tendue par des secrets de famille lourds à porter. L’ensemble n’est pas vraiment désagréable, et semble surtout un poil plus léger que les oeuvres de la galaxie Jacques Martin, avec un dessin moins raide et des textes moins longs. Hélas, des dialogues qui sonnent faux s’enchaînent à chaque page et, malgré un joli travail sur l’anatomie, les visages des personnages semblent revêtir en permanence la même expression. Enfin, la mise en scène d’une grande mollesse et les cadrages approximatifs achèvent de faire de ce premier tome de Sparte un album globalement ennuyeux.






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