-
Wow…
La critique est un poil sévère, non ?
Vous auriez pu parler de la virtuosité d’Aouamri, des planches superbes (particulièrement dans le tirage de luxe qui est somptueux)…
Après, question scénar, il est vrai que Dufaux a encore pondu quelque chose de poussiéreux et d’assez peu passionnant. Mais après tout, depuis 20 ans, c’est ce qu’il fait, non ?
Là, on a la chance qu’il ait écrit pour un dessinateur qui a un immense talent. Et qu’il nous ait épargné tout travelo (comme dans le ridicule Barracuda).
Vous mettez 1 « éclair », j’en aurais mis 3.
Avec en réserve le scénar. -
Wow…
La critique est un poil sévère, non ?
Vous auriez pu parler de la virtuosité d’Aouamri, des planches superbes (particulièrement dans le tirage de luxe qui est somptueux)…
Après, question scénar, il est vrai que Dufaux a encore pondu quelque chose de poussiéreux et d’assez peu passionnant. Mais après tout, depuis 20 ans, c’est ce qu’il fait, non ?
Là, on a la chance qu’il ait écrit pour un dessinateur qui a un immense talent. Et qu’il nous ait épargné tout travelo (comme dans le ridicule Barracuda).
Vous mettez 1 « éclair », j’en aurais mis 3.
Avec en réserve le scénar.

Par Mohamed Aouamri et Jean Dufaux. Le Lombard, 14,45 €, le 1er juin 2012.
Les principales menaces qui pèsent sur lui sont cependant de simples humains… D’ailleurs, une jeune femme adultérine sans scrupules ne fait qu’une bouchée de ce personnage falot et hésitant, partagé entre ses désirs et ses devoirs. Car, au fond, il est, comme bien d’autres preux de bande dessinée, notre contemporain.





Commentaires