« La Réconciliation »
Autofiction et résilience
Son père était « mauvais, violent, absent et fou ». Enfant, quand elle était en voiture avec lui à la place du mort, Théa se disait : « Ce serait bien qu’on ait un accident. » Cette gamine qui préférait dormir plutôt que vivre a aujourd’hui une trentaine d’années. Elle a réussi à faire la paix avec son père. La paix et même une BD, puisque Charles Rojzman, sociothérapeute, et sa fille Théa cosignent cet album, bel exemple de résilience. À travers cette autofiction, ils racontent en images leur parcours et leur propre rencontre, arrivée sur le tard, et qui les a aidés à faire un petit pas vers le bonheur. (La Réconciliation, 96 pages, JC Lattès, 14,90 E, http://reconciliationbd.blogspot.com)
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