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Je suppose que tout est une question de point de vue mais moi je n’ai pas trouvé les personnages carricaturaux, au contraire je les ai trouvés frappants de réalisme. Le ton est assez particulier, la pureté et la beauté des paysages visités étant souvent pourrie par l’amertume du père ou l’inaptitude du fils, alors que le rapport difficile entre les deux protagonnistes crée pas mal de situations comiques. Fin un peu déprimante quand même mais une bd qui fait réfléchir et prend par les sentiments. Un grand + pour le dessin et les couleurs également.
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Je suppose que tout est une question de point de vue mais moi je n’ai pas trouvé les personnages carricaturaux, au contraire je les ai trouvés frappants de réalisme. Le ton est assez particulier, la pureté et la beauté des paysages visités étant souvent pourrie par l’amertume du père ou l’inaptitude du fils, alors que le rapport difficile entre les deux protagonnistes crée pas mal de situations comiques. Fin un peu déprimante quand même mais une bd qui fait réfléchir et prend par les sentiments. Un grand + pour le dessin et les couleurs également.
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Tres beau livre je recommande. c’est fort c’est drole. c’est passionnant. j’ai été touché.
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Tres beau livre je recommande. c’est fort c’est drole. c’est passionnant. j’ai été touché.
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L’histoire m’a fait penser à l’album de Boule et Bill « Globe Trotter », et le dessin completement caricature et outrancier des personnages réduit à néant la tentative intimiste, surtout qu’il se marie mal avec les décors réalistes (voire photographiques). Je trouve cet album raté et complaisant.
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L’histoire m’a fait penser à l’album de Boule et Bill « Globe Trotter », et le dessin completement caricature et outrancier des personnages réduit à néant la tentative intimiste, surtout qu’il se marie mal avec les décors réalistes (voire photographiques). Je trouve cet album raté et complaisant.

Par Frédérik Salsedo, Olivier Jouvray et Greg Salsedo. Le Lombard, 15,50€, le 4 juin 2010.
Suivre un antihéros au gré de son cheminement, à la fois géographique et psychologique. Voilà l’idée d’Olivier Jouvray (Lincoln), le scénariste de Nous ne serons jamais des héros. On embarque volontiers sur les traces de Mick, malgré l’agacement que ce grand dadais – encore adolescent dans sa tête – suscite.





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